Vol tranquille, à peine le temps de regarder un film, d’écouter un peu de musique, de regarder les nuages et le plan de vol en temps réel en prenant quelques photos souvenirs de cette première grande traversée, de piquer un petit somme avec le fameux masque anti-lumière sur les yeux, de profiter du « fly-service », et 6 heures plus tard je débarquais fraîche comme une rose à peine fripée dans la moiteur de la nuit africaine. Bien accueillie, comme vous le savez.

Depuis quatre jours maintenant, tout va pour le mieux, et je mesure cette chance et ce confort. Je suis passée voir ma future maison, le chantier avance, et j’ai bon espoir d’être installée avant la rentrée des élèves.
Eyzandè ! (« A plus tard » en fon mais sans garantie sur l’orthographe)