Jeudi dernier à 13h50 (heure française)…

je venais de m’asseoir dans l’avion depuis à peine 5 minutes pour cause d’embarquement précipité suite à un passage minable et interminable au service détaxe bondé du terminal 2E ;

à 14h50, en ouvrant une bouteille de champagne pour m’offrir une coupe selon moi bien méritée, l’hôtesse de service s’est arrosée et a éclaboussé deux passagers dans l’explosion du bouchon;

à 15h27, heure de parution automatique du précédent billet de ce blog trépidant, nous survolions les côtes catalanes;

à 19h, nouvelle ouverture explosive, cette fois de la dosette de lait pour le café;

à 20h22, applaudissement du commandant par les passagers pour l’atterrissage réussi sur la fameuse piste de l’aéroport international Cardinal Bernardin Gantin;

à 20h45 (toujours heure française), un collègue avec qui j’attends devant le tapis de bagages, trop soulagée d’avoir réussi à m’accaparer une « bonne » place, me dit: « Tiens, mais c’est ton nom qui est écrit sur le tableau là-bas, avec les passagers qui doivent se présenter au comptoir ! » Naïvement, je me dis que peut-être mes bagages ont été sortis prioritairement (en quel honneur ?), mais c’est tout l’inverse : à cause de la procédure d’embarquement immédiat au départ, mes valises n’ont pu être chargées à temps, elles n’arriveront qu’avec le vol du lendemain…

A 13h50, au sol et dans l’ordre de réception des photos…

mon photographiste préféré, malgré ses 10 minutes de retard pour panne de batterie, était présent à l’appel avec toujours autant de créativité;

mes parents filaient à 136 km/h sur la route du retour vers la maison;

Jean-Lucky faisait de la brouette, immortalisé par Henriette;

Mymy partait acheter des livres scolaires;

ma copinol était toute émue par cette image d’allaitement maternel;

et milie buvait un café dans une jolie tasse d’une chouette céramiste

Merci amille (amis+famille), eyi zaandè !