Revoici une petite recette, ça faisait longtemps.
Cette fois, la spécialité africaine sans doute la plus enfantine à réaliser : l’aloko (ou alloco, je ne me porte pas garante de l’orthographe). Elle est d’origine ivoirienne et non béninoise, mais populaire dans toute l’Afrique de l’ouest (au moins) et délicieusement dépaysante.
Comment faire ? Choisir (ou se faire conseiller) des bananes plantain bien mûres de préférence (la peau sera très noire) ou moins mûres suivant votre goût, les découper (par exemple) en rondelles de 5mm environ (mais on peut aussi faire des tronçons plus gros ou des petits dés, il suffit d’adapter la cuisson), les saupoudrer légèrement de sel pour faire ressortir le goût; si les bananes sont vraiment trop mûres, passer rapidement les rondelles dans la farine pour leur éviter de se coller en paquets les unes aux autres. Les déposer dans un fond d’huile d’arachide bouillante en les séparant bien les unes des autres, et faire dorer rapidement des deux côtés (attention ça cuit très vite) en retournant individuellement d’un geste preste et expert. Puis déposer sur une feuille de papier absorbant pour éponger l’excès de graisse (ça restera quand même bien gras).
Et régalez-vous. L’intérêt de ce plat c’est qu’il se mange de toutes les façons que vous voulez : en accompagnement de viande ou poisson avec ou sans autre garniture, en grignotage entre deux repas, en apéro, voire en dessert… enjaillez-vous !
Eyi zaandè !
Sans savoir le nom, j’avais déjà fait revenir à la poèle les bananes quand tu avais ramené des plantains mais dans de l’huile de tournesol et sans sel. C’était déjà délicieux. Je confirme, ça cuit très vite et c’est pas hyper diététique mais quel régal!
Bonjour
J’ai repéré une de vos photos parmi beaucoup d’autres sur Google Images pour illustrer un paragraphe d’un prochain article sur mon blog de réflexion à propos de la roue de Deming, du handicap et des progrès relationnels dans la société.
Votre photo du naufrage d’un immeuble parisien publiée le 20/07/2013 dans l’article : un été en pente douce, me plairait bien pour illustrer un paragraphe intitulé : la pente douce des changements de mentalité je vous demande donc l’autorisation d’utiliser cette photo à cette fin, comme vous le suggérez dans « Au fait…. » . Et si l’envie vous dit, faites donc un petit tour sur mon blog : handicapetpasse.overblog.com
Merci de me répondre et bonne continuation dans vos activités.
Edwin
Bonsoir
Je suis bien ennuyé car Overblog m’avertit (sur mon blogue) de votre réponse à mon mail du 06 août.
Or sur ma boîte de réception (handicapetpasse@gmail.com) j’ai lu tous les e-mail reçus sans trouver le votre !!
Désolé de vous déranger de nouveau (mais cela m’a permis de lire votre dernier post sur les casques béninois : on retrouve bien là, la joyeuse inventivité africaine devant l’adversité (des résultats sans les moyens !).
En vous remerciant
Edwin
Je réponds donc ici, en substance, je disais que je serai ravie de lire votre prochaine article et de vous prêter la photo en illustration contre citation de sa source comme vous avez l’habitude de le faire d’après ce que j’ai vu. Votre blogue est intéressant d’après ce que j’ai parcouru, et bien écrit, qualité suffisamment rare pour être soulignée. Cordialement (et merci pour la courtoisie de votre démarche).
Merci pour votre autorisation d’utiliser la susdite photographie. Permettez-moi de vous joindre le lien de l’article dans lequel elle a été insérée et que j’ai partagé sur LinkedIn : http://handicapetpasse.overblog.com/2014/08/progres-societal-handicap-et-roue-de-deming-shewhart.html
En vous souhaitant de nouvelles bonnes idées à photographier.
Cordialement
Edwin